« Trois ans d'analyse : soixante-dix mille francs. Tout ça pour apprendre que ta mère couche avec ton père. Et qu'en plus elle aime ça ! »
« L'homme qui est pessimiste à 45 ans en sait trop, celui qui est optimiste après n'en sait pas assez. »
« Celui qui ouvre une prison doit savoir qu'on ne la fermera plus. »
« Entre deux hommes qui n'ont pas l'expérience de Dieu, celui qui le nie en est peut-être le plus près. »
« Dieu ? On peut demander à l'homme de croire à l'impossible, mais non à l'improbable. »
« Le courage est la résistance à la peur : la maîtresse et non l'absence de la peur. »
« Le temps perdu se rattrape toujours. Mais peut-on rattraper celui qu'on n'a pas perdu ? »
« On meurt pour ce qui est fort, non pour celui qui est faible. Mourir pour ce qui est fort fait perdre à la mort son amertume. »
« J'ai connu des hommes de grand courage qui avaient peur de leur femme. »
« Le destin de l'individu est lié à celui du pays tout entier. »
« Entre deux maux, je choisis toujours celui que je n'ai jamais essayé. »
« L'optimiste est celui qui sait à quel point le monde peut être triste. Le pessimiste, celui qui le découvre tous les jours. »
« Apprendre les langues prend énormément de temps, et il en est de même pour toutes les choses que l'on veut connaître. »
« L'emploi qu'un homme finit par obtenir est rarement celui pour lequel il se croyait préparé et dans lequel il pensait pouvoir être utile. »