« Ainsi disant, je marchais à grands pas, le visage enflammé, le vent sifflant dans ma chevelure, ne sentant ni pluie ni frimas, enchanté, tourmenté, et comme possédé par le démon de mon coeur. »
« Hier encore, je marchais au hasard sur la terre, et des milliers de chemins fuyaient sous mes pas, car ils appartenaient à d'autres... Aujourd'hui, il n'y en a plus qu'un, et Dieu sait où il mène: mais c'est mon chemin. »
« Il faudrait faire du théâtre satirique avec la netteté d'un Beaumarchais et l'abondance d'un Rabelais. »