« Il est curieux que les grands écrivains aient eu soin de composer des pages médiocres pour figurer dans les florilèges. »
« C'est toujours la même chose : nos amours sont sublimes ; celles des autres sont d'ignobles coucheries. »
« Délire laborieux et appauvrissant que de composer de vastes livres, de développer en cinq cent pages une idée que l'on peut très bien exposer oralement en quelques minutes. »
« ... Les hommes n'ont jamais deux amours. C'est là la barrière au cœur des hommes: le chiffre un. »
« Les femmes des autres ont un charme troublant. Elles sont pareilles aux nôtres, mais c'est très différent. »
« On voit que le vent ne sait pas lire quand il feuillette les pages d'un livre à l'envers. »
« On revient toujours à ses premières amours. »
« L'on n'aime bien qu'une seule fois, c'est la première ; les amours qui suivent sont moins involontaires. »
« Devant la prolifération des pages personnelles sur le web, on dirait bien que dans peu de temps chacun aura 15 méga-octets de popularité. »
« A force de nous apitoyer sur les malheurs des héros de romans, nous finissons par nous apitoyer trop sur les nôtres. »
« Je trouve mes lectures dans la lumière du ciel. - C'est le livre le plus profond qui soit - et ce n'est pas moi qui en tourne les pages. »
« J'admire, Madame, comme le Ciel a pu former deux âmes aussi semblables en tout que les nôtres. »
« Les idées des autres sont nôtres quand nous les avons faites telles que par notre adhésion. »
« S'ils sont plus grands que nous... Ils ont les pieds aussi bas que les nôtres. »