« Celui qui ne fait pas, et n'imagine pas le mal, est porté non pas à nier l'existence du mal, mais à refuser de croire à la fatalité du mal, à se refuser d'admettre que le mal soit inévitable et inguérissable. »
« C'est une chose étonnante de constater avec quel acharnement nous refusons la fatalité du provisoire. »