« Familles, je vous hais! disait Gide (qui pourtant en fit une). Disons plus simplement, à deux lettres près: Familles, je vous ai. »
« Malheur à vous qui riez maintenant, car vous connaîtrez le deuil et les larmes! »
« Ne ris pas de mon deuil, Quand le mien sera vieux, le tien sera neuf. »
« Les familles, l'été venu, se dirigent vers la mer en y emmenant leurs enfants. Dans l'espoir, souvent déçu, de noyer les plus laids. »
« Si fut incontinent tout le camp adverty du deuil qu'en menoit Aemulius, et de la destresse en laquelle il en estoit. »
« Il y a toujours dans le deuil du pauvre quelque chose qui manque, une absence d'harmonie qui le rend plus navrant. Il est contraint de lésiner sur sa douleur. Le riche porte la sienne au grand complet. »
« Que personne ne se hâte de voir le jour où tous ses parents et leurs familles feront un éloge. »
« Les veuves inconsolables ne sont pas celles qui aimaient le mieux leur mari, mais celles que le deuil n'enlaidit pas. »
« L'argent, c'est la couille des familles. »
« Être licencié et tomber dans le chômage, c'est un drame pour ceux à qui cela arrive et à leurs familles. »
« Le sage fait son deuil de sa mort. »
« Celui qui observe en marchant dans les rues, verra, je crois, les visages les plus gais dans les voitures de deuil. »
« Rassembler les familles c'est un crime. »
« La pudeur, n'est rien, elle n'est qu'une invention des lois sociales pour mettre à couvert les droits des pères et des époux et maintenir quelque ordre dans les familles. »