« Une maladie, un deuil, on en parle... Mais un chagrin d'amour scelle les mots au bord des lèvres comme si une incompréhensible pudeur devait les retenir nous empêchant de les communiquer aux autres. »
« Cela arrive souvent... De s'inventer des maladies après un deuil. C'est la façon de se sentir moins seul. On se dédouble, si vous voulez. On se soigne comme si on était un autre. On est de nouveau deux: celui que je suis et celui que je soigne. »