« Le grand avantage des provinciaux, c'est qu'après avoir admiré Paris, ils peuvent le quitter. »
« Bien mal acquis ne profite qu'après. »
« Quand on voit la tristesse des biknites, on comprend pourquoi c'est interdit le hackique et on se dit que le pinard ça devrait être obligatoire. »
« L'humour a toujours été contre le pouvoir, quel que soit le régime. »
« Des idées, tout le monde en a. Souvent les mêmes. Ce qu'il faut, c'est savoir s'en servir. »
« Quand on a la chance d'avoir été pauvre et de gagner beaucoup d'argent après, on n'est pas emmerdé pour le dépenser. »
« Le cancer, au prix que ça coûte, on n'est même pas sûr de mourir guéri. »
« Le champignon le plus vénéneux, c'est celui qu'on trouve dans les voitures. »
« A la place du bon Dieu, je ne serais pas très flatté de n'amener à moi que les gens qui ne trouvent pas mieux. »
« Y'a un truc qu'on est sûr quand on est ministre, c'est qu'on retournera pas à l'école, tandis qu'en prison, faut voir ! »
« La politique c'est comme le flirt : si on veut aller plus loin, faut aller plus près. »
« On parle peu quand la vanité ne fait pas parler. »
« Quand on s'endort avec le cul qui gratte, on se réveille avec les doigts qui puent. »
« Si on examine la nature des maladies, on trouvera qu'elles tirent leur origine des passions et des peines de l'esprit. »