« Préparez-vous, je vais parler en français: une entreprise terrifiante, et qui sera une dure épreuve pour votre amitié envers la Grande-Bretagne. »
« Monsieur, si j'étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre café. - - Madame, si j'étais votre mari, je le boirais. »
« Il était tellement bête que ses collègues s'en étaient aperçus. »
« J'aime les porcs. Les chiens nous regardent avec vénération. Les chats nous toisent avec dédain. Les cochons nous considèrent comme des égaux. »
« Après la guerre, deux choix s'offraient à moi: finir ma vie comme député, ou la finir comme alcoolique. Je remercie Dieu d'avoir si bien guidé mon choix: je ne suis plus député! »
« Le chien lève vers vous des yeux implorants, le chat vous regarde de haut. Mais parlez-moi du cochon! Le cochon, lui, vous regarde droit dans les yeux, d'égal à égal. »
« S'excuser, c'est un peu comme essayer de redonner de l'allure à un manteau élimé avec une brosse usée. »
« La critique peut être désagréable, mais elle est nécessaire. Elle est comme la douleur pour le corps humain: elle attire l'attention sur ce qui ne va pas. »
« Pour justement détester la musique moderne, il faut la connaître. Ainsi, on pourra la détester plus intelligemment. Ou bien, sait-on jamais, l'apprécier. »
« Le secret de ma vitalité? Je n'ai dans le sang que des globules rouges: l'alcool a tué depuis belle lurette tous mes globules blancs. »
« Il n'y a aucun mal à changer d'avis, pourvu que ce soit dans le bon sens. »
« Nous avions à choisir (à Munich) entre le déshonneur et la guerre. Nous avons choisi le déshonneur et nous avons eu la guerre. »
« Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. - Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal. »
« On passe notre temps à chercher ce qui nous manque, sans vraiment savoir ce que c'est... »