« Tous ces prétendus hommes politiques sont les pions, les cavaliers, les tours ou les fous d'une partie d'échecs qui se jouera tant qu'un hasard ne renversera pas le damier. »
« S'il y a un diamant dans la poitrine, il brille sur le visage. »
« Alors, pourquoi dois-je écouter mon cœur? - Parce que tu n'arriveras jamais à le faire taire - Et même si tu feins de ne pas entendre ce qu'il te dit, il sera là, dans ta poitrine, et ne cessera de répéter ce qu'il pense de la vie et du monde. »
« Tu vois les hautes tours s'élever au-dessus des maisons seulement quand tu as quitté la ville. »
« Les seins ne sont jamais trop lourds pour la poitrine. »
« Si j'étais accusé d'avoir volé les tours de Notre-Dame, je commencerais par m'enfuir. »
« Sauter, danser, faire les tours - Et boire vin blanc et vermeil, - Et ne rien faire tous les jours - Que compter écus au soleil. »
« Je finirai par croire que les femmes qui viennent vous chercher vous jouent plus de tours que les femmes auxquelles on a dû faire une longue cour avant de les obtenir, comme ayant moins de prix pour elle (vanité) dans le premier cas que dans le second. »
« Mon imitation n'est point un esclavage. - Je ne prends que l'idée, et les tours, et les lois - Que nos maîtres suivaient eux-mêmes autrefois. »
« Le chagrin, brûlure au creux de la poitrine. »
« L'amitié, cet unisson de la poitrine, quand une même corde tendue d'un cœur à l'autre vibre sur tous deux... Cette amitié est plus généreuse que l'amour, plus rare et plus grande que l'amour dont tout humain est capable. »
« Si tu ramasses un coquillage et que tu le portes à ton oreille, tu entendras la mer. Si tu le portes à ta poitrine, il entendra ton cœur. »
« La terre est comme la poitrine d'une femme : utile autant qu'agréable. »
« Méfie-toi des femmes, mon vieux, qu'elles ne prennent jamais le pas sur toi. Elles ne sont que des médailles accrochées à la poitrine des héros. »