« Si l'amour éprouvait de la honte, on ne le peindrait pas tout nu. »
« On aime parce que... Parce que l'amour est inhérent à la nature humaine. C'est un penchant très vif que l'on éprouve pour un être, une forte sympathie... On ne sait pas pourquoi l'on aime. On aime et voilà tout. »
« L'homme attentif qui lit les grands livres éprouve parfois au milieu de la lecture de certains refroidissements subits suivis d'une sorte d'excès de chaleur. »
« On n'éprouve aucun plaisir à avoir raison si on ne peut pas démontrer aux autres qu'ils ont tort. »
« Pour acquérir le sens de l'argent, il n'est pas nécessaire de connaître les biens qu'il procure, il faut avoir éprouvé le mal qu'il donne à se laisser gagner. »
« L'homme qui mange son pain ne s'inquiète pas de la satisfaction qu'éprouve, ou n'éprouve pas, le pain d'être mangé. »
« La tempérance est l'art de renoncer aux plaisirs qu'on n'éprouve plus. »
« Celui qui ne peut plus éprouver ni étonnement, ni surprise est pour ainsi dire mort. »
« C'est dommage que le danger soit chose au fond si dangereuse, sans quoi on s'y jetterait rien que pour éprouver cette joie puissante qui accompagne la délivrance. »
« S'il est question d'une boisson insipide, comme, par exemple, un verre d'eau, on n'a ni goût ni arrière-goût ; on n'éprouve rien, on ne pense à rien ; on a bu et voilà tout. »
« Il n'est de pire solitude que celle qu'on éprouve quand on est deux. »
« Si tu veux te faire un ami, commence par l'éprouver et ne te hâte pas de te confier à lui. »
« La solitude que l'on éprouve en écrivant est assez terrifiante. C'est parfois proche de la folie, on disparaît et on perd le sens de la réalité. »
« C'est dans le creuset qu'on éprouve l'or, c'est dans le malheur qu'on connaît l'ami véritable. »