« Je ne me connais pas. Je m'imagine. »
« Les hommes politiques deviennent automatiquement pessimistes le jour où le jeu de bascule les éloigne du pouvoir. »
« L'amour c'est comme l'alcool, plus on est impuissant et saoûl et plus on se croit fort et malin, et sûr de ses droits. »
« Une ville sans concierge ça n'a pas d'histoire, pas de goût, c'est insipide telle une soupe sans poivre ni sel, une ratatouille informe. »
« Il faut que l'idée naisse de la vision comme l'étincelle du caillou. »
« Nous sommes tous en fait absolument dépendants de notre société. C'est elle qui guide notre destin. »
« La plus grande gloire pour un vieillard est de se voir aimé pour lui-même. Il a ainsi passé avec succès son dernier examen. »
« C'est comme les cochonneries, les histoires de bravoure, elles plaisent toujours à tous les militaires de tous les pays. »
« Dans une société il y a toujours des gens qui ne font rien et qui savent tout, et d'autres qui veulent tout faire et ne comprennent rien. »
« Le cinéma, ce nouveau petit salarié de nos rêves on peut l'acheter lui, se le procurer pour une heure ou deux, comme un prostitué. »
« Ce monde n'est qu'une immense entreprise à se foutre du monde. »
« C'est peut-être cela qu'on cherche à travers la vie, rien que cela, le plus grand chagrin possible pour devenir soi-même avant de mourir. »
« La beauté, c'est comme l'alcool ou le confort, on s'y habitue, on n'y fait plus attention. »
« Accepter l'idée d'une défaite, c'est être vaincu. »