« La vie m'a appris une chose : quand il y a urgence, il faut parfois savoir ne pas se presser. »
« L'homme qui s'adjuge, en vertu de sa supériorité intellectuelle, une plus large part de biens terrestres, perd le droit de maudire l'homme fort qui, aux époques de barbarie, asservissait le faible en vertu de sa supériorité physique. »
« L'égalité n'existe que lorsque chacun produira selon ses forces et consommera selon ses besoins. »
« L'ordre n'a pas de meilleur bouclier que l'étude. »
« Ce qui effraie le plus dans les partis, ce n'est pas ce qu'ils disent, c'est ce qu'ils négligent ou refusent de dire. »
« Une doctrine, quelle qu'elle soit, politique, religieuse ou sociale, ne se produit jamais sans trouver plus de contradicteurs que d'adeptes, et ne recrute quelques soldats qu'après avoir fait beaucoup de martyrs. »
« C'est avec les pauvres que les riches se font la guerre. »
« On est toujours le fou de quelqu'un. »
« C'est par peur de la mort que je pense au suicide. »
« La rapidité des esprits scientifiques rattrapera toujours l'imagination des artistes. »
« Quand on aime, rien n'est plus beau que l'être aimé. Quand on n'aime plus, rien n'est plus beau que le prochain amour. »
« Le bonheur est éphémère, il passe sans s'arrêter, il s'attarde parfois, l'espace d'une illusion, mais rares sont ceux qui savent le retenir, le garder. Il est si fragile, si vulnérable, il suffit de trois fois rien pour l'effrayer, le voir fuir à jamais. »
« Il y a trois choses, dans la vie, que je ne supporte pas : le café brûlant, le champagne tiède et les femmes froides. »
« La vie étant un éternel recommencement, seule l'acceptation de la défaite signifie la fin de tout. Tant et aussi longtemps que l'on sait recommencer, rien n'est totalement perdu. »