« Dans la nuit du tombeau, toi qui m'as consolé, - Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie, - La fleur qui plaisait tant à mon cœur désolé, - Et la treille où le pampre à la rose s'allie. »
« Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères, - Des divans profonds comme des tombeaux, - Et d'étranges fleurs sur des étagères, - Ecloses pour nous sous des cieux plus beaux. »