« Feindre d'ignorer ce qu'on sait, de savoir tout ce que l'on ignore... Voilà toute la politique. »
« Le travail est le pain nourricier des grandes nations. »
« La solitude est essentielle à la fraternité. »
« L'usage est souvent un abus. »
« On ne s'intéresse guère aux affaires des autres que lorsqu'on est sans inquiétude sur les siennes. »
« Courroux de frère, courroux de diables d'enfer. »
« Il est trois sortes de gens qui parlent peu, ce sont les savants et les gens forts heureux ou malheureux ; ainsi l'on peut dire que le savoir, la douleur et le bonheur sont muets. »
« Le droit est le souverain du monde. »
« En occupant les gens de leur propre intérêt, on les empêche de nuire à l'intérêt d'autrui. »
« On revient de sa jeunesse comme d'un pays étranger. Le poème, le livre est la relation du voyage. »
« Les maximes constituent la sagesse des nations. »
« En occupant les autres de leur propre intérêt, on les empêche de nuire à l'intérêt d'autrui. »
« Vilain enrichi ne connaît ni parent ni ami. »
« Qui se mêle du métier d'autrui, trait sa vache dans un panier. »