« On loue quelquefois les choses passées pour blâmer les présentes, et pour mépriser ce qui est, on estime ce qui n'est plus. »
« Pour une femme, se marier c'est comme sauter dans la rivière en plein hiver : une chose qu'on ne fait pas deux fois. »
« En politique, j'apprécie les prolétaires ; en amour, les princesses russes. »
« Le carrosse du passé ne nous conduit nulle part. »
« On a souvent plus d'envie de passer pour officieux que de réussir dans les offices, et souvent on aime mieux pouvoir dire à ses amis qu'on a bien fait pour eux que de bien faire en effet. »
« Être trop mécontent de soi est une faiblesse. Être trop content de soi est une sottise. »
« Tomate : légume très timide - rougit en prenant des formes. »
« Il faut s'accoutumer aux folies d'autrui et ne se point choquer des niaiseries qui se disent en notre présence. »
« Il y a peu d'avantage de se plaire à soi-même quand on ne plaît à personne. Car souvent le trop grand amour que l'on a pour soi est châtié par le mépris d'autrui. »
« L'homme se souvient du passé, la femme pressent l'avenir ; le couple voit le présent. »
« Le trop parler est un si grand défaut qu'en matière d'affaires et de conversation, si ce qui est bon est court, il est doublement bon, et l'on gagne par la brièveté ce qu'on perd souvent par l'excès des paroles. »
« Ce que je redoute le plus avec l'Euro, c'est qu'il sera environ 6,5 fois plus dur d'être millionnaire. »
« L'amour a un caractère si particulier qu'on ne peut le cacher où il est, ni le feindre où il n'est pas. »
« La honte qu'on a de se voir louer sans fondement donne souvent sujet de faire des choses qu'on n'aurait jamais faites sans cela. »