« La respiration est le berceau du rythme. »
« Les confiseurs de l'esprit livrent des fruits confits de lecture. »
« Ecrire un feuilleton consiste à faire des boucles sur une calvitie. »
« Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial. »
« La force du sadisme, l'attrait qu'il présente, gît tout entier dans la jouissance prohibée de transférer à Satan les hommages et les prières qu'on doit à Dieu... »
« Le christianisme a enrichi la scène érotique du hors-d'oeuvre de la curiosité et l'a gâtée par l'entremets du remords. »
« Les queues de siècle se ressemblent. Toutes vacillent et sont troubles. »
« Ils traitent une femme comme une boisson désaltérante. Que les femmes aient soif, ils ne veulent pas le tolérer. »
« La réalité ne pardonne pas qu'on la méprise ; elle se venge en effondrant le rêve, en le piétinant, en le jetant en loques dans un tas de boue ! »
« Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre. »
« Le secret de l'agitateur est de paraître aussi bête que ses auditeurs, pour qu'ils se croient aussi intelligents que lui. »
« L'amour, c'est l'occasion unique de mûrir, de prendre forme, de devenir soi-même un monde, pour l'amour de l'être aimé. »
« Ce n'est pas la conscience des hommes qui déterminent leur existence, c'est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience. »
« L'histoire de l'industrie est le livre ouvert des facultés humaines. »