« Le travail du corps délivre des peines de l'esprit et c'est ce qui rend les pauvres heureux. »
« La pompe des enterrements funèbres intéresse plus la vanité des vivants que la mémoire des morts. »
« Rien n'est si contagieux que l'exemple ; et nous ne faisons jamais de grands biens ni de grands maux qui n'en produisent de semblables. »
« C'est toujours pareil : l'homme croit bien faire, et les autres ne sont pas contents. »
« Il semble que c'est le diable qui a tout exprès placé la paresse à la frontière de plusieurs vertus. »
« Les vertus sont frontières des vices. »
« Il faut gouverner la fortune comme la santé : en jouir quand elle est bonne, prendre patience quand elle est mauvaise. »
« Les hommes ne sont pas des cafards pour s'égailler dans tous les sens... »
« En vieillissant on devient plus fou et plus sage. »
« Pour une femme, se marier c'est comme sauter dans la rivière en plein hiver : une chose qu'on ne fait pas deux fois. »
« La modération des personnes heureuses vient du calme que la bonne fortune donne à leur humeur. »
« En politique, j'apprécie les prolétaires ; en amour, les princesses russes. »
« La plus juste comparaison que l'on puisse faire de l'amour, c'est celle de la fièvre. »
« La renommée des grands hommes devrait toujours se mesurer aux moyens dont ils ont usé pour l'acquérir. »