« Si les vers ont été l'abus de ma jeunesse, - Les vers seront aussi l'appui de ma vieillesse: - S'ils furent ma folie, ils seront ma raison. »
« Reverrais-je le clos de ma pauvre maison - Qui m'est une province et beaucoup d'avantage? »
« Et ne vaut-il pas mieux quelque orage endurer,Que d'avoir toujours peur de la mer importune ?Par la bonne fortune on se trouve abusé,Par la fortune adverse on devient plus rusé. »
« France, mère des arts, des armes et des lois, - Tu m'as nourri longtemps du lait de ta mamelle: - Ores, comme un agneau qui sa nourrice appelle, - Je remplis de ton nom les antres et les bois. »
« Las! où est maintenant ce mépris de fortune? - Où est ce cœur vainqueur de toute adversité...? »
« Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage. »
« France, mère des arts, des armes et des lois. »
« Crois en toi, mais ne doute pas toujours des autres. »
« L'ouvrage a toujours l'air facile quand le travail est un plaisir. »
« Les explications font dépenser du temps et du papier, retardent l'action et finissent par ennuyer. Le mieux, c'est de lire attentivement. »
« Pleureuses en troupeau passeront les rafales. »
« On a le pied fait à sa chaîne. »
« La plus méprisable des nations est aujourd'hui la nôtre, parce qu'elle n'a nulle espèce d'honneur et qu'elle ne songe qu'à l'argent et au repos. »
« Lord Byron, gentleman-vampire, - Hystérique du ténébreux; - Anglais sec, cassé par son rire, - Son noble rire de lépreux. »