« ... Toute littérature est traduction. Et traduction à son tour, la lecture que l'on en fait... D'où cet autre sentiment selon lequel on n'en aura jamais fini avec les textes que l'on aime, car ils rebondissent d'interprétation en interprétation... »
« Les confiseurs de l'esprit livrent des fruits confits de lecture. »
« J'ai travaillé toute la matinée à la lecture des épreuves d'un de mes poèmes et j'ai enlevé une virgule. Cet après-midi, je l'ai remis. »
« Nos cauchemars, c'est notre âme qui balaye devant sa porte. »
« Lis avec lenteur à une époque où l'on nous parle de lecture rapide et de lecture en diagonale. »
« Les nuages sont comme les pensées, les rêveries, les cauchemars du ciel. »
« Peu importe ce que les jeunes lisent : c'est le 'muscle' de la lecture qu'il faut faire travailler et personne n'a pas besoin de débuter avec Marcel Proust. »
« Le critique doit inviter à relire ou à repenser sa lecture. »
« La première lecture est au lecteur ce que l'improvisation est à l'orateur. »
« Il fait bon d'ouvrir la porte au rêve : on cherche la magique extase de la poésie dans la lecture des chef-d'oeuvre qu'elle a produits. »
« La lecture apporte à l'homme plénitude, le discours assurance et l'écriture exactitude. »
« On ressent assez vite, à la contemplation d'une toile du Tintoret, un léger ennui qu'on ne retrouve pas à la lecture de Fluide Glacial, où Edika dessine très bien les bites. »
« C'est le sort des plus beaux rêves de se transformer tout d'un coup en cauchemars.... »
« La lecture, c'est comme les auberges espagnoles, on n'y trouve que ce que l'on y apporte. »