« Les critiques littéraires sont les cactus qui vivent de leurs piquants parmi les vautours qui vivent de leurs plumes. »
« On passe notre temps à chercher ce qui nous manque, sans vraiment savoir ce que c'est... »
« L'amour, tout comme la mort, est une étape du voyage où on arrive tous, un jour ou l'autre. »
« L'écriture : cet éternel dilemme entre la vie et la mort, cette ambiguïté qui rejoint les gens dans leur instabilité la plus secrète. »
« La poésie, puisée en elle-même, n'est rien d'autre qu'un moyen d'expression et de désenvoûtement de la réalité. »
« L'accent, c'est pas dans la gorge des uns, c'est dans l'oreille des autres ! »
« La mort semble la seule route possible pour retrouver la dignité perdue. Le retour du pays d'un reflet. »
« Il est préférable de mourir de mort naturelle que d'ennui. »
« Pourquoi faut-il que la seule chose qui soit de meilleur en nous s'effrite avec le temps ? »
« Tout bon exilé pense que ce qui vient d'ailleurs est toujours meilleur. »
« Le bonheur est éphémère, il passe sans s'arrêter, il s'attarde parfois, l'espace d'une illusion, mais rares sont ceux qui savent le retenir, le garder. Il est si fragile, si vulnérable, il suffit de trois fois rien pour l'effrayer, le voir fuir à jamais. »
« La vie étant un éternel recommencement, seule l'acceptation de la défaite signifie la fin de tout. Tant et aussi longtemps que l'on sait recommencer, rien n'est totalement perdu. »
« Faire l'amour, en soi, ne libère pas les femmes. La question, c'est de savoir de quelle sexualité les femmes doivent se libérer pour la vivre bien. »
« La philosophie de l'artillerie : Cogito ergo boum. »