« C'est décourageant le sable. Rien n'y pousse. Tout s'y efface. »
« La barrière la plus immuable de la nature se situe entre les pensées d'un homme et celle d'un autre. »
« Les optimistes croient que nous vivons dans le meilleur des mondes possibles. Les pessimistes craignent que cela soit vrai. »
« La pitié est le sentiment qui arrête l'esprit devant ce qu'il y a de grave et de constant dans les souffrances humaines et qui l'unit avec le sujet souffrant. »
« L'instinct, c'est comme cet oiseau qui mourait de soif et qui a pu boire l'eau de la cruche en jetant des cailloux dedans. »
« D'abord continuer, ensuite commencer. »
« L'accent, c'est pas dans la gorge des uns, c'est dans l'oreille des autres ! »
« La reproduction est le commencement de la mort. »
« Les hommes nous enseignent à penser comme des poules, bien que nous soyons des aigles. Etendez vos ailes et envolez-vous ! Et ne vous contentez jamais des grains que l'on vous jette. »
« Les grands principes parviennent rarement à ne pas créer l'injustice dans les cas particuliers. »
« Voilà ce qui fait le bon commerçant. Il vous fait acheter ce qu'il a besoin de vendre. »
« Chez les peuples primitifs, on ne réveille jamais un dormeur, car son âme est alors absente et peut ne pas avoir le temps de réintégrer son enveloppe. »
« La science serait bien moins avancée si les désirs passionnés des individus de voir confirmer leurs propres croyances n'étaient pas rentrés en ligne de compte. »
« Les empires ne périssent pas sous les coups de leurs ennemis mais par leur propre épuisement et par la démission des forces qui les soutiennent. Il en va de même de nos amours et de notre vie. »