« Il y a deux sortes de bergers parmi les pasteurs de peuples : ceux qui s'intéressent au gigot et ceux qui s'intéressent à la laine. Aucun ne s'intéresse aux moutons. »
« Vous savez pourquoi on trouve toujours de la laine vierge? C'est parce que les moutons courent plus vite que les bergers. »
« Sommes-nous pas un peu semblables aux moutons?... Nous fuyons celui qui, simplement, nous dérange, pour courir dans les bras de celui qui nous tond et qui nous mange. »
« Retournons à nos moutons. »
« Il est vrai qu'en matière de sottise les meilleurs candidats ne se trouvent pas toujours dans les troupeaux de moutons. »
« Pourquoi les moutons ne rétrécissent-ils pas quand il pleut ? »
« Au jour de Saint-Prudence, - S'il fait du vent, les moutons dansent. »
« On sait par quelle fatalité les grands talents sont, pour l'ordinaire, plus rivaux qu'amis; ils croissent et brillent séparés, de peur de se faire ombrage: les moutons s'attroupent et les lions s'isolent. »
« Censiers, si vous voulez m'en croire, - Tondez vos moutons à la Saint-Grégoire. »
« Les loups sont rassasiés, les moutons sont entiers. »
« Sus ! Revenons à ces moutons. »