« Je ne me demande pas où mènent les routes ; c'est pour le trajet que je pars. »
« On a besoin de ses mains pour dire les choses que la parole ne traduit pas. »
« La brutalité est le recours de ceux qui n'ont plus de pouvoir intérieur. »
« L'air désuet, souvent ridicule que prennent si facilement nos bonheurs quand ils sont finis. »
« Il ne faut jamais dire adieu, cela porte malheur. »
« L'amour meurtrier. L'amour infâme. L'amour funeste. Amour. Amour. Unique vie en ce monde. »
« Au-delà de toute sainteté règne l'innocence astucieuse et cruelle des bêtes et des fous. »
« La danse, n'est-elle pas la marche dans son apothéose ; marche noble, dépouillée d'un but utilitaire, et libre comme un jeu d'enfant ? »
« Est-ce que cela ne vous semble pas bizarre de ne pouvoir être autre chose que soi, jusqu'à son dernier souffle, et même au-delà, dit-on. »
« Les plus grands jeux inventés par l'homme simulent la vie et la mort à s'y méprendre. »
« La souffrance enlaidit les êtres. Elle durcit les traits, fige le sourire, donne des rides et un teint gris. Le visage des gens qui souffrent fait mal voir. »
« La prière du professeur de ZEP : "Donne-moi aujourd'hui le courage d'y aller. Pardonne à ceux qui vont m'offenser comme je pardonnerai au ministère qui m'a laissée tomber." »
« En amour, l'équilibre n'est jamais simultané. Chacun ne donne pas de la même façon, ni au même instant. »
« L'inquiétude est un poison subtil qui distille ses effets au compte-gouttes à longueur de temps, jusqu'à l'intoxication. »