Anne Hébert (née le 1er août 1916, morte le 22 janvier 2000) est une écrivaine, poétesse et scénariste canadienne.
« Je ne me demande pas où mènent les routes ; c'est pour le trajet que je pars. »
« On a besoin de ses mains pour dire les choses que la parole ne traduit pas. »
« La brutalité est le recours de ceux qui n'ont plus de pouvoir intérieur. »
« L'air désuet, souvent ridicule que prennent si facilement nos bonheurs quand ils sont finis. »
« Il ne faut jamais dire adieu, cela porte malheur. »
« Mon arbre généalogique à moi, il commence avec moi. »
« Au-delà de toute sainteté règne l'innocence astucieuse et cruelle des bêtes et des fous. »
« L'amour meurtrier. L'amour infâme. L'amour funeste. Amour. Amour. Unique vie en ce monde. »
« La danse, n'est-elle pas la marche dans son apothéose ; marche noble, dépouillée d'un but utilitaire, et libre comme un jeu d'enfant ? »
« La parole a besoin de gestes pour toucher le cœur humain. »
« Isabelle, vous êtes trop belle pour le désespoir! »
« Les plus grands jeux inventés par l'homme simulent la vie et la mort à s'y méprendre. »
« Est-ce que cela ne vous semble pas bizarre de ne pouvoir être autre chose que soi, jusqu'à son dernier souffle, et même au-delà, dit-on. »
« C'est terrible la mémoire lorsqu'elle se montre à l'horizon comme une marée en marche. »