« On est tellement pressés d'aller on ne sait où faire on ne sait quoi, chaque minute d'attente prend des allures d'éternité perdue. »
« La nature apprend à l'homme à nager lorsqu'elle fait couler son bateau. »
« Accepte-toi toi-même d'abord, accepte tout ce que ton être comporte, ses richesses et ses pauvretés ; accepte d'agir tel que tu es : accepte ton lot. »
« La musique de jazz, c'est une insouciance accélérée. »
« Le vase du potier contient l'espace qu'on lui donne. Le vase du sculpteur contient ce qu'on lui a enlevé. »
« Le jour où la joie des autres devient ta joie, le jour où leur souffrance devient ta souffrance, tu peux dire que tu les aimes. »
« Je ne suis le porte-drapeau de personne... - Ecrire est une entreprise tellement solitaire... »
« La musique de jazz, c'est l'insouciance accélérée. »
« La culture, c'est comme la confiture : moins on en a, plus on l'étale. »
« Celui qui est né pour un petit pain n'en aura jamais un gros. »
« Sans le rêve, il n'y a pas de poésie possible. Et sans la poésie, il n'y a pas de vie supportable. »
« La vache a deux estomacs: un pour tout de suite, un pour plus tard. »
« ... La base idéale d'un riche Anglais poli: l'ennui. »
« Il n'y a qu'un vrai silence : celui de la mort. »