« Les passions sont toutes bonnes de leur nature et nous n'avons rien à éviter que leurs mauvais usages ou leurs excès. »
« La pensée agit sur le corps d'une manière inexplicable ; l'homme est peut-être la pensée du grand corps de l'univers. »
« On s'irrite moins en fonction de l'offense reçue qu'en raison de l'idée qu'on s'est formée de soi. »
« Je reprends des forces dans le sein de ma mère. »
« C'est la providence qui nous dirige, lorsqu'elle nous destine à jouer un rôle sur la scène du monde. »
« Il est des degrés entre les pauvres comme entre les riches. »
« Le grand tort des hommes, dans leur songe de bonheur, est d'oublier cette infirmité de la mort attachée à leur nature. »
« Ainsi les plus généreux ont coutume d'être les plus humbles. »
« En histoire comme en physique, ne prononçons que d'après les faits. »
« Le chemin des plus hauts désirs passe souvent par l'indésirable. »
« A chaque sépulture, il y a un homme qui reçoit le fardeau de la main de l'homme qui va se reposer. »
« Les événements effacent les événements ; inscriptions gravées sur d'autres inscriptions, ils font des pages de l'histoire des palimpsestes. »
« Toute révolution qui n'est pas accomplie dans les moeurs et dans les idées échoue. »
« On transmet son sang, on ne transmet pas son génie. »