« La dépression, c'est le novembre de l'âme, le décembre du désir. »
« La mort, c'est un peu comme la connerie. Le mort, lui, il ne sait pas qu'il est mort... Ce sont les autres qui sont tristes. Le con c'est pareil... »
« Les affaires de désir ont lieu dans le nez : buée, fumée, rosée, ondes, particules, répulsions ou attractions invisibles, odeurs en creux et limaille en l'air. »
« La liposuccion peut également être rangée au nombre des activités qui distinguent l'homme de l'animal. »
« La dépression, c'est une manière de mort, et la vie, comme la pensée, est mouvement. »
« Chez les chamois, quand Madame se fait faire un lifting, on garde les peaux pour nettoyer les carreaux... »
« Si je devais me suicider un jour, je me pendrais à un noyer, ce serait mon dernier jeu de mot. »
« Le lancement du poids, c'est la pétanque des costauds. »
« Depuis qu'on calcule le temps olympique en millièmes de secondes, un type qui a un grand nez a plus de chances que les autres. »
« Le sexe mène à la violence ou à la mélancolie. »
« Celui qui ne sait pas rire ne doit pas être pris au sérieux. »
« Le 1er janvier 1945 à Hiroshima, les gens s'étaient souhaité une bonne et heureuse année. »
« Tous les amoureux ont douze ans, d'où la fureur des adultes. »
« J'ai un copain fakir, et l'autre jour on lui a piqué son porte-feuille... Il a rien senti ! »