« Si tu veux trouver du repos ici et là haut, dis en toute occasion : qui suis-je, moi ? et ne juge personne. »
« Les gens ne sont jamais tout à fait ce qu'ils donnent l'impression d'être. Sauf les vaniteux et les égocentriques qui participent vraiment du bois pourri qu'ils font paraître. »
« L'adolescence serait toujours cela : le partage de quelques illusions. L'âge adulte, la solitude des déceptions. »
« Les mondes nouveaux doivent être vécus avant d'être expliqués. »
« Au lieu de planifier l'imprévisible, rêvons ensemble du futur. »
« Voici donc la mélodie, vénéneuse et bouffonne, de la chair exhibée, offerte, captée. L'indécence des corps tordus, défaits, cambrés, remodelés, traversés. L'illumination de la fièvre, de la débauche, du débordement. »
« L'art n'est pas fait pour troubler l'ordre public, mais les esprits. »
« Il n'y a pas d'éternité dans le regard de l'homme, et encore moins dans celui du poète qui regarde l'homme. Car l'artiste est celui qui inspire plutôt que celui qui est inspiré. »
« La photographie contraint la réalité à n'avoir pas d'envers. »
« Parler de soi aux autres, c'est se suicider un peu. »
« Ce moment privilégié où la conscience d'être prime celle du corps. »
« La photographie ? Une lâcheté devant le souvenir. »
« Ce qui n'est pas toute la vérité n'est pas la vérité du tout. »
« En France, je suis un auteur, en Allemagne je suis un faiseur de film, au Royaume-Uni, je suis un réalisateur d'horreur, aux Etats-Unis, je suis un clochard. »