« Les préjugés sont, pour ainsi dire, la ruse instinctive des hommes; ils résolvent à travers eux bien des choses qu'il leur aurait été difficile de décider par la réflexion, et tout cela sans effort. »
« Le temps, dans sa lutte contre l'homme, joue avec lui, et quand il s'ennuie, il le tue. »
« Le pain est le plus conventionnel et le plus frelaté des symboles de la nutrition : l'âme de l'homme n'est pas omnivore. »
« Le bonheur est éphémère, il passe sans s'arrêter, il s'attarde parfois, l'espace d'une illusion, mais rares sont ceux qui savent le retenir, le garder. Il est si fragile, si vulnérable, il suffit de trois fois rien pour l'effrayer, le voir fuir à jamais. »
« On ne sait jamais ce qu'il y a dans la tête d'un enfant en dehors de ce que nous y avons mis. »
« Votre main droite sait certainement ce que fait votre main gauche, mais elle ne le dit pas. Louons sa discrétion. »
« Pour vivre en société il y a 2 choses essentielles à apprendre: apprendre à parler et apprendre à se taire. »
« On passe notre temps à chercher ce qui nous manque, sans vraiment savoir ce que c'est... »
« La vie étant un éternel recommencement, seule l'acceptation de la défaite signifie la fin de tout. Tant et aussi longtemps que l'on sait recommencer, rien n'est totalement perdu. »
« S'il y a un diamant dans la poitrine, il brille sur le visage. »
« La puissance du ressort du grille-pain est proportionnelle à la taille de la cuisine. »
« Survivre aux épreuves est la meilleure façon de faire ses preuves. »
« Faire l'amour, en soi, ne libère pas les femmes. La question, c'est de savoir de quelle sexualité les femmes doivent se libérer pour la vivre bien. »
« L'amour, c'est comme l'électricité. On allume le poêle sans penser au prix. »