« Certains ont grand appétit : si on leur donne à téter, ils boivent le lait puis dévorent le sein. »
« On peut ne pas aimer les carottes, les salsifis, la peau du lait cuit. Mais le vin ! Autant voudrait-on détester l'air qu'on respire, puisque l'un et l'autre sont également indispensables. »
« On guérit comme on se console : on n'a pas dans le cœur de quoi toujours pleurer et toujours aimer. »
« Si l'on donnait du café aux vaches, on trairait du café au lait. »
« Il est moins coûteux d'acheter son lait que d'avoir une vache. »
« Celui-là t'aime bien qui te fait pleurer. »
« S'il ne fallait retenir qu'une vertu des Technologies de l'Information et de la Communication ce serait celle-ci : la possibilité d'offrir à chacun une tribune, un espace de liberté, d'expression. »
« Les miroirs réfléchissent trop. Ils renversent prétentieusement les images et se croient profonds. »
« Savez-vous ce qui arriverait au Sahara si on y installait le communisme ? Pendant cinquante ans rien. Au bout de cinquante ans, pénurie de sable. »
« Son whisky était si extraordinaire que quand il en buvait, il parlait écossais. »
« Le temps est le maître absolu des hommes ; il est tout à la fois leur créateur et leur tombe, il leur donne ce qu'il lui plaît et non ce qu'ils demandent. »
« On se plaît au récit des maux qu'on ne sent plus. »
« Si ton couscous te plaît, mange-le quand il est chaud. »
« Il y a deux façons de ne plus avoir envie de rien : avoir ce qu'on voulait ou être découragé parce qu'on ne l'a pas. »