« Le temps ne cicatrise pas les outrages du temps. »
« Dans l'amour, quand il se présente, ce n'est que l'obligation de travailler à eux-mêmes que les êtres jeunes devraient voir. »
« Rose, ô pure contradiction, joie de n'être le sommeil de personne sous tant de paupières. »
« Comme il serait préférable que nous comprenions que nous sommes solitude. »
« La respiration est le berceau du rythme. »
« L'amour, c'est l'occasion unique de mûrir, de prendre forme, de devenir soi-même un monde, pour l'amour de l'être aimé. »
« Qui parle de vaincre ? Ce qui compte c'est de survivre. »
« Grande est la mort, le sourire aux lèvres nous lui appartenons. »
« L'objet de la recherche n'est plus la nature en soi, mais la nature livrée à l'interrogation humaine, est dans cette mesure l'homme ne rencontre ici que lui-même. »
« On contient sa mort comme le fruit son noyau. »
« Le désir d'avoir une mort bien à soi devient de plus en plus rare... Jadis, l'on savait que l'on contenait sa mort comme le fruit son noyau. Et cette conscience vous donnait une singulière dignité, une silencieuse fierté. »
« Je crois à la nuit. »
« Si le temps passe et que tu t'aperçois que ton nom circule parmi les hommes, n'en fais pas plus de cas que de tout ce que tu trouves dans leur bouche. »
« L'amour, c'est l'occasion unique de mûrir, de prendre forme, de devenir soi-même un monde, pour l'amour de l'être aimé. C'est une haute exigence, une ambition sans limite, qui fait de celui qui aime un élu qu'appelle le large. »