« Noble et brillant auteur d'une triste famille, - Toi, dont ma mère osait se vanter d'être fille, - Qui peut-être rougis du trouble où tu me vois, - Soleil, je te viens voir pour la dernière fois. »
« Je suis juif parce que le sort a voulu que je naisse juif. Je n'en rougis pas et je ne m'en glorifie pas. Etre juif pour moi, c'est une question d'«identité», une «identité» à laquelle, je dois le préciser, je n'ai pas l'intention de renoncer. »
« Je rougis que mon père, - Pour l'intérêt d'un fils, s'abaisse à la prière. »
« Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; - Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; - Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; - Je sentis tout mon corps et transir et brûler... »
« Si je rougis parfois de ce que je fais, c'est de plaisir. »
« Comme les homards, les jeunes filles ont l'extérieur exquis. Comme les homards, elles rougissent quand on veut les rendre comestibles. »
« Autrefois, quand elle était gênée, une jeune fille rougissait. Aujourd'hui quand une jeune fille rougit, elle est gênée. »
« Il vaut mieux que les enfants rougissent des parents que les parents des enfants. »
« Les femmes rougissent d'entendre nommer ce qu'elles ne craignent aucunement à faire. »
« La modestie honteuse et la pudeur rougissante sont les mamelles ordinaires d'un pourboire exorbitant. »
« Dès qu'ils apprennent qu'on va déshabiller leur carapace, ils rougissent. Je serai toujours fasciné par la pudeur des homards. »
« Quels ouvrages que ceux dont plusieurs de nos écrivains périodiques ne rougissent pas de faire l'éloge! »
« Les hommes rougissent moins de leurs crimes que de leurs faiblesses et de leur vanité. »
« Longtemps, on aime encore en rougissant d'aimer. »