« La solitude n'est possible que très jeune, quand on a devant soi tous ses rêves, ou très vieux, avec derrière soi tous ses souvenirs. »
« A trente ans, une femme doit choisir entre son derrière et son visage. »
« La justice est souvent le masque du courroux. »
« Les larmes empêchent de voir, le deuil encore plus. »
« Combien faudra-t-il ajouter de siècles à ceux qui sont derrière nous pour ne plus avoir honte de nos sensations ? »
« Chaque révolution s'évapore en laissant seulement derrière elle le dépôt d'une nouvelle bureaucratie. »
« La timidité, c'est un défaut terrible, ça masque toutes vos qualités... »
« Notre vie n'est pas derrière nous, ni avant, ni maintenant, elle est dedans. »
« L'essentiel n'est pas la flûte, ni ce qu'elle joue, mais le visage derrière la flûte et qui en joue. »
« Dans l'extrême jeunesse, l'on est trop enclin, comme les femmes, à croire que les larmes dédommagent de tout. »
« Je n'écris pas pour laisser quelque chose derrière moi, mais pour soulager ma souffrance. »
« Dieu sait que nous n'avons jamais à rougir de nos larmes, car elles sont comme une pluie sur la poussière aveuglante de la terre qui recouvre nos cœurs endurcis. »
« A travers les larmes on voit drôlement mieux qu'à la loupe ou avec des jumelles. »
« Les larmes, c'est comme une rosée qui empêche le cœur de faner, une rosée qui l'aide à refleurir comme avant. »