« Ne pas avoir faim, ne pas avoir soif, ne pas avoir froid ; celui qui dispose de cela, et a l'espoir d'en disposer à l'avenir, peut lutter comme il arrive, et coulera des jours heureux. »
« L'histoire, l'indéflectible histoire, va à rebours des idées. »
« La liberté est une sensation. On peut parfois l'atteindre, enfermé dans une cage comme un oiseau. »
« Le temps, dans sa lutte contre l'homme, joue avec lui, et quand il s'ennuie, il le tue. »
« Le pain est le plus conventionnel et le plus frelaté des symboles de la nutrition : l'âme de l'homme n'est pas omnivore. »
« Il y a deux sortes d'hommes: ceux qui font l'histoire et ceux qui la subissent. »
« Aujourd'hui, tout le monde pose. L'homme propose, la femme dispose, l'industrie expose, le commerce dépose, les sciences composent, et les grands hommes reposent. »
« C'est l'homme tout entier qui est conditionné au comportement productif par l'organisation du travail, et hors de l'usine il garde la même peau et la même tête. Dépersonnalisé au travail, il demeurera dépersonnalisé chez lui. »
« J'aimerais mieux aller hériter à la poste que d'aller à la postérité. »
« J'aime mieux être tiré à quatre épingles qu'à quatre chevaux. »
« La peinture est une poésie muette et la poésie une peinture parlante. »
« La supériorité des blancs sur les rouges est incontestable. Je n'en veux que les haricots pour exemple. »
« Mirabeau aimait avec force: c'est une de ses faiblesses. »
« La femme est une propriété dont le mari a rarement l'usufruit. »