Françoise Chandernagor, née le 19 juin 1945 à Palaiseau (Essonne), est un écrivain français. Membre de l'Académie Goncourt, elle est la fille d'André Chandernagor, ancien député de la Creuse et ministre du gouvernement Pierre Mauroy.
« Un drame, le divorce ? Allons donc !... Pour bien divorcer, aujourd'hui, c'est facile - il suffit de s'adorer ! »
« Quand la foi soulève des montagnes, elle écrase des enfants. »
« Bonnes manières et mauvaises moeurs : un grand bourgeois. »
« Contrairement à ce que pensent les gens, l'écriture n'est pas un exutoire et ne permet pas d'aller mieux, à moins de la vivre comme une cure analytique. »
« La grandeur d'un destin se fait de ce qu'on refuse plus que de ce qu'on obtient. »
« Le pardon n'est pas au bout du chemin ; il est le chemin. »
« Dans la déchéance des autres, on n'entre pas sans s'abaisser. »
« Pour celui qui a décidé d'en faire sa vie, l'art déséquilibre. »
« Les hommes aiment les gros seins et les gros compliments. »
« Je trouve mes plus grands bonheurs dans les petits plaisirs. »
« Si la mort n'est rien, le "mourir" est difficile. »
« On ne règle à l'amiable que ce qu'on règle sans s'aimer. »
« Sa vie, on ne la refait pas, on la poursuit. »
« Je m'arrange assez bien du regard de Dieu sur mes péchés, mais je n'y supporte pas le regard des autres. »