Georges Bernanos est un écrivain français, né le 20 février 1888 dans le 9e arrondissement de Paris et mort le 5 juillet 1948 à Neuilly-sur-Seine à l'âge de 60 ans.
« Quand ça ne va plus, je change de café. »
« La haine qu'on se porte à soi-même est probablement celle entre toutes pour laquelle il n'est pas de pardon. »
« Qu'une guerre soit réellement une juste guerre, nul, je pense, ne saurait l'affirmer avant la paix. Ce sont les paix justes qui font les guerres justes. »
« Un peuple est pacifique aussi longtemps qu'il se croit assez riche et redouté pour installer sournoisement sa dictature économique. »
« ... En humilité comme en tout, la démesure engendre l'orgueil, et cet orgueil-là est mille fois plus subtil et plus dangereux que celui du monde, qui n'est le plus souvent qu'une vaine gloriole... »
« Il n'y a pas de vérités moyennes. »
« L'avenir est quelque chose qui se surmonte. On ne subit pas l'avenir, on le fait. »
« A sa place, ils iraient aussi chez le marchand de vins, car un ventre de misérable a plus besoin d'illusion que de pain. »
« Le polémiste est admirable à 20 ans, supportable à 30 ans, ennuyeux jusque 50 ans, et obscène au-delà... »
« Les petites choses n'ont l'air de rien, mais elles donnent la paix... - Dans chaque petite chose, il y a un Ange. »
« Mais, ce que nous appelons hasard, c'est peut-être la logique de Dieu. »
« Ce qu'exige tôt ou tard le plus fort, ce n'est pas qu'on soit à ses côtés mais dessous. »
« On ne plaît qu'aux sots, qu'on rassure. »
« Chez beaucoup de malades, l'insomnie même n'est qu'une des mille formes de l'aboulie. »