Georges Bernanos est un écrivain français, né le 20 février 1888 dans le 9e arrondissement de Paris et mort le 5 juillet 1948 à Neuilly-sur-Seine à l'âge de 60 ans.
« Qui n'a pas vu la route à l'aube, entre ses deux rangées d'arbres, toute fraîche, toute vivante, ne sait pas ce que c'est que l'espérance. »
« Ce que nous appelons hasard, c'est peut-être la logique de Dieu. »
« Il y a un honneur chrétien: il est la fusion mystérieuse de l'honneur humain et de la charité du Christ. »
« Dans chaque petite chose, il y a un ange. »
« Les plus irréparables sottises sont celles que l'on commet au nom des principes. Les plus dangereuses erreurs, celles où la proportion de vérité reste assez forte pour qu'elles trouvent un chemin jusqu'au cœur de l'homme. »
« On ne saurait être déçu sans être injuste. »
« Il est vrai qu'alors c'était moi qui me sentais tomber: je cherchais une aide, un appui, une main fraternelle. »
« L'intellectuel est si souvent un imbécile que nous devrions toujours le tenir pour tel, jusqu'à ce qu'il nous ait prouvé le contraire. »
« Qu'importe ma vie! Je veux seulement qu'elle reste jusqu'au bout fidèle à l'enfant que je fus. »
« C'est lorsqu'il y a trop à dire qu'il faut s'efforcer d'être le plus court possible. Le légendaire Cambronne l'avait compris bien avant moi. »
« Le berceau est moins profond que la tombe. »
« Le hasard nous ressemble. »
« L'homme de ce temps a le cœur dur et la tripe sensible. »
« Ce que la voix peut cacher, le regard le livre; c'est dans le regard, non dans la voix, que se trahit la crainte... »