« On m'a demandé ce que je pense de la "nouvelle vague" : j'aime toutes les vagues. Ça remue ! »
« Sommes-nous pas un peu semblables aux moutons?... Nous fuyons celui qui, simplement, nous dérange, pour courir dans les bras de celui qui nous tond et qui nous mange. »
« Crever gros, crever maigre?... La différence est pour les porteurs. »
« Au royaume des sourds, il y a beaucoup de bruit pour rien. »
« L'avez-vous remarqué ?... Quand on roule, on n'a jamais de contravention. C'est toujours quand on s'arrête... »
« Un homme sur mille est un meneur d'hommes; les neuf cent quatre-vingt-dix-neuf autres sont des suiveurs de femmes. »
« Je suis journaliste. Je suis partout. J'écoute tout... - J'écris tout ce que j'entends et j'invente ce que je n'entends pas. »
« La guerre, c'est moche et ça ne sert à rien. Mais, dit-on, il faut bien se défendre. Et l'on ne sait jamais qui a tiré le premier coup de feu. »
« Il ne suffit pas d'être inutile. Encore faut-il être odieux. »
« Qui vient de loin des yeux rira bien près du cœur. »
« Quand un monsieur vous dit qu'il a changé de voiture, si vous cherchez bien, vous constaterez qu'il aurait préféré changer de femme, mais que devant les difficultés, il a opté pour la solution la plus simple. »
« Madame: n'achetez plus de tissus écossais. Ecossez-les vous-mêmes!... »
« Fêtes nationales?... Fêtes religieuses?... Le peuple n'est pas toujours tellement regardant, quant à l'origine de ses joies. Pourvu qu'il s'amuse, il n'en demande pas davantage. »
« Je ne me suis jamais posé la question de savoir comment je me situe, dans le monde et le temps. Je travaille et je paie mes impôts. Les deux, d'ailleurs s'annulent si bien que je travaille, finalement pour rien. »