« Il y a quelque chose de calmant dans la philosophie, une manière de parler du vivant comme si on était mort. »
« Rien n'est plus contagieux que la liberté. »
« Peu de livres changent une vie. Quand ils la changent c'est pour toujours. »
« La fin de la guerre c'est la maîtrise d'un bout de terre, la reconnaissance d'un seul maître. »
« Seuls l'homme et la femme qui peuvent se rejoindre au-dessus de toute sexualité sont forts. »
« ... C'est dans l'épuisement que l'on augmente ses forces. C'est dans l'abandon que l'on devient prince, et dans l'éclat de mourir que l'on découvre ce plus noble éclat de l'amour. »
« Il y a plus de clarté dans les livres que dans le ciel. Il y a plus de clarté dans le sommeil des amants que dans les livres. »
« Dans la mort le chemin devient d'un seul coup si étroit que, pour passer, on doit se laisser tout entier. »
« Il est parfois nécessaire de se taire pour délivrer une parole juste. »
« Ce qui distingue les forfaits de la vie de ceux du théâtre, c'est que dans la vie on fait plus et on dit moins, et qu'au théâtre on parle beaucoup pour faire une toute petite chose. »
« La vie en société c'est quand tout le monde est là et qu'il n'y a personne. La vie en société c'est quand tous obéissent à ce que personne ne veut. »
« L'obsession des femmes est vitale, elle correspond à un besoin de vertu. »
« L'histoire des peuples est l'histoire de la trahison de l'unité. »
« Faire trop longtemps la même chose, au même endroit, à la même heure, cela rend vieux. »