« Octobre n'est jamais passé, - Sans qu'il y ait cidre brassé. »
« Il y a deux sortes de femmes. La femme-bibelot que l'on peut manier, manipuler, embrasser du regard, et qui est l'ornement d'une vie d'homme. Et la femme-paysage. Celle-là on la visite, on s'y engage, on risque de s'y perdre. »
« Et quand le soir dans vos belles maisons, vous allez embrasser vos petits enfants avec votre bonne conscience, au regard de Dieu, vous avez probablement plus de sang sur vos mains d'inconscient que n'en aura jamais le désespéré. »
« Dans les contes pour enfants, les princesses donnent des baisers aux crapaud. Dans la vie réelle, les princesses embrassent les princes et ceux-ci se transforment en crapauds. »
« Ce qui ne peut être évité, il faut l'embrasser. »
« Deux femmes qui s'embrassent me feront toujours penser à deux boxeurs qui se serrent la main. »
« Il y a une façon d'embrasser qui veut dire "je t'aime" et une façon d'embrasser qui veut dire "aime-moi". »
« Nous avons besoin d'embrasserle changement ; pour l'accueillir afin de nous transplanter périodiquement. »
« La vie est belle lorsqu'on embrasse une fille. Mais d'un autre côté, la vie est dégueulasse. Il y a trop de mensonges dans le quotidien. Alors, il faut savourer chaque baiser, l'étirer, le prolonger, le goûter le plus longtemps possible ! »
« La science est le tronc d'un baobab, qu'une seule personne ne peut embrasser. »
« Baiser. Dire embrasser, plus décent. Doux larcin. Le baiser se dépose sur le front d'une jeune fille, la joue d'une maman, la main d'une jolie femme, le cou d'un enfant, les lèvres d'une maîtresse. »
« De telles innocences dans de telles ténèbres, une telle pureté dans un tel embrassement, ces anticipations sur le ciel ne sont possibles qu'à l'enfance, et aucune immensité n'approche de cette grandeur des petits. »
« Si une femme baisse les yeux quand on l'embrasse, c'est pour mieux voir l'homme par qui elle aimerait être embrassée. »
« L'amour naît-il de ce qu'il y a là quelque chose d'impossible ? L'amour est-il ce qu'on n'embrasse jamais que du regard ? »