« A chaque minute nous sommes écrasés par l'idée et la sensation du temps. Et il n'y a que deux moyens pour échapper à ce cauchemar : le plaisir et le travail. Le plaisir nous use. Le travail nous fortifie. Choisissons. »
« Ne juge pas chaque jour à la récolte que tu fais mais aux graines que tu sèmes. »
« Quand un homme dit des obscénités à une femme, c'est du harcèlement sexuel. Quand c'est une femme qui dit des obscénités à un homme, c'est 3,95 euro la minute. »
« En réalité, nous ne savons plus rien, nous ne sommes plus sûrs de rien. Lorsqu'on regarde les oeuvres des anciens, on n'a vraiment pas à faire les malins. »
« La fuite est futile, nous sommes tous prisonniers au milieu d'un cercle, quelle que soit la façon dont nous vivons notre vie, l'anéantissement nous attend, la mort n'oublie personne. »
« Chaque communiste doit assimiler cette vérité : le pouvoir est au bout du fusil. »
« En politique, rien n'arrive par hasard. Chaque fois qu'un événement survient, on peut être certain qu'il avait été prévu pour se dérouler ainsi. »
« Dans chaque enfant il y a un artiste. Le problème est de savoir comment rester un artiste en grandissant. »
« Pourquoi nous haïr ? Nous sommes solidaires, emportés par la même planète, équipage d'un même navire. »
« Être ce que nous sommes et devenir ce que nous sommes capables de devenir, tel est le seul but de la vie. »
« L'amour est une ortie qu'il faut moissonner chaque instant si l'on veut faire la sieste étendu à son ombre. »
« Avec des nouvelles technologies, ne sommes-nous pas en train d'assister à la disparition inéluctable de l'auteur ou du créateur au profit d'une marque ? »
« Chaque problème résolu en fait naître d'autres, en général plus difficiles. »
« Une phrase trop chargée d'adjectifs est comme une armée où chaque soldat serait accompagné de son valet de chambre. »