« Un acteur sur la scène, c'est une buche dans le feu. Quand la flamme du dialogue le quitte, il doit lui rester la braise de la situation. Mauvais bois qui s'éteint dès qu'il ne flambe plus. Faut-il donc que le poëte souffle toujours dessus ? »
« Automne, automne, adieux de l'Adieu! - La tisane bout, noyant mon feu; - Le vent m'époumone - A reverdir la bûche où mon grand cœur tisonne. »
« Bûche tordues donnet flammes droites. »
« J'ai toujours été frappé par le comportement d'ivrogne des enfants en bas âge : ils bégaient, titubent, trébuchent, passent sans transition du rire aux larmes et réciproquement. Qu'est-ce que ce serait si, en plus, ils buvaient de l'alcool ! »
« Un bonheur que rien n'a entamé succombe à la moindre atteinte ; mais quand on doit se battre contre les difficultés incessantes, on s'aguerrit dans l'épreuve, on résiste à n'importe quels maux, et même si l'on trébuche, on lutte encore à genoux. »
« Vaut mieux regarder devant soi que se retourner sur l'endroit où l'on a trébuché. »
« Ecoute bûcheron, arrête un peu le bras !Ce ne sont pas des bois que tu jettes à bas ;Ne vois-tu pas le sang, lequel dégoûte à force,Des Nymphes qui vivaient dessous la dure écorce. »
« Nous pouvons jeter des pierres, nous plaindre d'elles, trébucher dessus, les escalader, ou les utiliser pour construire. »
« Le souvenir, ce n'est pas une réminiscence du passé, c'est le moment où le présent trébuche sur une aspérité de l'histoire et libère un message laissé là longtemps auparavant, qui se déploie et prend son sens. »
« Trébuche, relève-toi,Cours, enfant nu que l'on accable de pierres. »
« En langue basque, AIZ signifie pierre, AIZKOLAR, hache, AIZKOLARIK, bûcheron. Voilà ce que j'appelle une langue ancienne. »
« Le chemin qui mène à la sagesse et aux joies de l'esprit est un parcours dangereux, semé d'embûches. Mais quelle récompense pour celui qui s'acharne et atteint la vérité ! »
« Comme disait Jeanne d'Arc en grimpant au bûcher: l'essentiel c'est d'être cru. »
« Le noir est comme un bûcher éteint, consumé, qui a cessé de brûler, immobile et insensible comme un cadavre sur qui tout glisse et que rien ne touche plus. »