« Voici mon opinion sur la poésie : les vers sont de petites prisons cellulaires où la pensée est coffrée. »
« A l'affamé appartient le pain que tu gardes. A l'homme nu, le manteau que recèlent tes coffres. Au va-nu-pieds la chaussure qui pourrit chez toi. Au miséreux, l'argent que tu tiens enfoui. »
« L'avare ne tire pas plus d'avantage de son argent que s'il avait des pierres dans ses coffres. »
« Il alloit souvent ouvrir et visiter mes coffres, pour veoir si ma mere y auroit rien fourré de friandise et de superfluité. »
« On s'enferme dans son silence ; on se fait coffrer dans ses paroles. »