« Celui qui a pitié se souvient de lui-même. »
« Il est des ménagements qui frôlent la pitié... »
« Il y a une jouissance dans les ruptures, si on ne se laisse pas prendre par la pitié. »
« Si l'on a toujours pitié de soi, l'on a parfois honte de la misère des autres. »
« On a aussi peu de liberté maintenant qu'il y a vingt ans : faire l'amour était alors interdit aux jeunes filles ; maintenant c'est presque devenu obligatoire. Les tabous sont les mêmes. »
« Comme les homards, les jeunes filles ont l'extérieur exquis. Comme les homards, elles rougissent quand on veut les rendre comestibles. »
« La maison familiale est une prison pour les jeunes filles et une maison de correction pour les femmes. »
« Il n'y a pas de filles bien qui ont mal tourné, simplement des méchantes qui se sont trouvées. »
« Les filles sont les roses de la couronne de la vie. Les roses et les filles font resplendir le printemps. »
« Les hommes publics sont comme les filles publiques, incapables de prendre leur retraite à temps. »
« Les hommes sensibles préfèrent sortir le soir au matin, la nuit au jour, et la beauté des femmes mûres à celle des jeunes filles. »
« Les filles, c'est comme les limaces. Elles doivent bien servir à quelque chose, mais à quoi ? »
« Il y a de nos jours des fillettes de quatorze ou quinze ans qui devraient être condamnées pour détournement de majeurs. »
« Les hommes publics promettent la lune. Les filles publiques la font payer comptant ! »