« La souffrance nous rapproche de Dieu en nous éloignant du mal et, par suite, nous fait évaluer plus justement les choses de ce monde. »
« Il en est des paysages comme des hommes : il faut un peu les vivre pour pénétrer leurs secrets. »
« La jeunesse passe vite. C'est alors que compte la préparation à la vie. »
« La vie ce n'est pas la distraction et le mouvement du monde. Vivre, c'est sentir son âme, toute son âme. C'est aimer, aimer de toutes ses forces, toujours, jusqu'à la fin, et jusqu'au sacrifice. »
« Quels sacrifices attendre, quels renoncements espérer dans la poursuite d'un bien commun, quand l'égoïsme est roi ? »
« La jeunesse est belle. Dérision ! Elle est belle, confiante, aventureuse. Elle est riche de tous les espoirs, de toutes les ambitions. Elle est surtout naïve. »
« Le temps guérit tout, règle nos problèmes, ceux-là surtout qui paraissent insolubles. »
« Rien ne ressemble plus à un mensonge que la vérité. »
« La solitude n'existe pas, celle-là surtout dont on espère la paix. Où que vous alliez, votre pensée et vos actes vous suivent. »
« Quand on se trouve en face d'une difficulté, on en tire le meilleur parti possible. »
« N'importe quel imbécile sait qu'on ne peut pas toucher les étoiles, mais ça n'empêche pas les sages d'essayer. »
« On ne fuit pas les gens, on se fuit soi-même. »
« Si les artistes boivent, c'est qu'ils ont besoin de calmer la sensibilité qui les dévore. »
« Les corbeaux sont très malins... Si on leur taille la langue en deux, on peut leur apprendre à parler. »