« ... La violence, en s'épanouissant, produit un épi de malheur, qui ne fournit qu'une moisson de larmes. »
« L'écriture : cet éternel dilemme entre la vie et la mort, cette ambiguïté qui rejoint les gens dans leur instabilité la plus secrète. »
« Il n'est rien que le temps n'enseigne en vieillissant. »
« Dans une famille on est tous tributaire les uns des autres. Le malheur de l'un fait le malheur de tous. »
« La violence a coutume d'engendrer la violence. »
« La crainte est impossible à maîtriser quand elle est excessive. »
« La démesure en fleurissant produit l'épi de la folie, et la récolte est une moisson de larmes. »
« La poésie, puisée en elle-même, n'est rien d'autre qu'un moyen d'expression et de désenvoûtement de la réalité. »
« Dieu collabore avec tout homme animé d'un désir ardent. »
« Ah ! Triste sort des hommes : leur bonheur est pareil à un croquis léger : vient le malheur, trois coups d'éponge humide, c'est en fait du dessin. »
« Les cicatrices psychiques laissées par le simple fait de se croire laide marquent à jamais la personnalité. »
« C'est un lien fort que la parenté et l'habitude de vivre ensemble. »
« La vraie sagesse est de ne pas sembler sage. »
« Pourquoi l'amour ? L'amitié n'apporte-t-elle pas autant, sans en avoir les innombrables défauts. »