« Ah, vous autres, hommes faibles et merveilleux qui mettez tant de grâce à vous retirer du jeu ! Il faut qu'une main, posée sur votre épaule, vous pousse vers la vie... »
« L'argent, ah ! Fléau des humains ! »
« Ah ! Il y a tant de choses entre le ciel et la terre que les poètes sont seuls à avoir rêvées. »
« Ah ! On parle des liens du mariage ! Mais les liens du divorce sont encore plus indissolubles ! »
« Ah ! Les petites maladies de l'enfance qui vous laissent quelques jours de convalescence, à lire au lit des Bugs Bunny ! Hélas, quand on vieillit, les plaisirs de la maladie deviennent rares. »
« Ah ! Quelle nécropole que le cœur humain ! Pourquoi aller aux cimetières ? Ouvrons nos souvenirs, que de tombeaux ! »
« Les femmes aussi ont leurs saisons. L'été ne dure pas toujours et après l'été... Ah oui ! Les splendeurs de l'automne ! Mais combien éphémères !! Qui prend le temps de regarder et d'aimer l'automne ? »
« Vivez, ah ! Vivez donc, et qu'importe la suite ! N'ayez pas de remords. Vous n'êtes pas Juge. »
« Impossible n'est pas français. Inviolable n'est pas russe. »
« Ah ! Le mariage, c'est tout un sacerdoce. »
« Ah ! Triste sort des hommes : leur bonheur est pareil à un croquis léger : vient le malheur, trois coups d'éponge humide, c'est en fait du dessin. »
« Ah ! La jeunesse, l'immortelle poésie du cœur ! »
« Ah ! Que le monde est donc mal fait, et pourquoi faut-il que certains êtres finalement deviennent cibles pour avoir été trop points de mire ! »
« Ah ! Que le temps vienneOù les cœurs s'éprennent. »