« Ah, la tendresse ! Cet état d'âme qui vous impose de reconnaître vos propres sentiments dans ceux des autres. »
« Lycée, ah ! Cimetière du temps de ma jeunesse. »
« Ah ! Peuple mobile qui cède au moindre vent ; malheur à celui qui s'appuie sur ce roseau ! »
« Ah ! Que la vie est quotidienne ! »
« Ah songer est indigne, puisque c'est pure perte ! »
« Devoir ! Ah, je ne puis souffrir ce vilain mot, cet odieux mot ! Il est si pointu, si aigre, si froid. Devoir, devoir, devoir ! On dirait des coups d'épingle. »
« Ah ! que l'amour est agréable ! Il est agréable en effet - bien moins, d'ailleurs, pour ce qu'il donne que pour ce qu'on en espère. »
« Ah ! Les hommes ne savent pas aimer ! »
« Ah ! celui-là vit mal qui ne vit que pour soi ! »
« On est assez mièvre pour s'écrier devant les nouveau-nés : Ah qu'il est mignon ! Il ne sont jamais beaux, il n'y a que la naissance en elle-même qui soit belle. »
« Ah ! La musique. Ce sont des morceaux de bon Dieu qui vous entrent dans l'âme par les oreilles ! »
« Ah ! la grande amour, ça vient, on ne sait pas quand, on ne sait pas comment, et qui mieux est, on ne sait pas pour qui. »
« - Finalement, quand on est riche, ça ne s'arrête jamais ?- Rassurez-vous, c'est pareil quand on est pauvre ! »
« Ah ! Monsieur, on ne se méfiera jamais assez de la poésie. »