« Le mort ni le prisonnier n'a plus ni ami ni parent. »
« Es-tu triste ? Cherche autour de toi un service à rendre, une peine à consoler... »
« La vie m'a appris une chose : quand il y a urgence, il faut parfois savoir ne pas se presser. »
« L'homme qui s'adjuge, en vertu de sa supériorité intellectuelle, une plus large part de biens terrestres, perd le droit de maudire l'homme fort qui, aux époques de barbarie, asservissait le faible en vertu de sa supériorité physique. »
« L'égalité n'existe que lorsque chacun produira selon ses forces et consommera selon ses besoins. »
« L'ordre n'a pas de meilleur bouclier que l'étude. »
« Ce qui effraie le plus dans les partis, ce n'est pas ce qu'ils disent, c'est ce qu'ils négligent ou refusent de dire. »
« Une doctrine, quelle qu'elle soit, politique, religieuse ou sociale, ne se produit jamais sans trouver plus de contradicteurs que d'adeptes, et ne recrute quelques soldats qu'après avoir fait beaucoup de martyrs. »
« C'est avec les pauvres que les riches se font la guerre. »
« On est toujours le fou de quelqu'un. »
« C'est par peur de la mort que je pense au suicide. »
« Il ne peut y avoir de totalité de la communication. Or la communication serait la vérité si elle était totale. »
« Le chagrin est une sorte de chat sauvage, de couleur grise. Son cri est plutôt triste et lugubre. Il faut se mettre à plusieurs pour en venir à bout. Car, tout seul, on arrive mal à chasser le chagrin. »
« La fausse modestie consiste à se mettre sur le même rang que les autres pour mieux montrer qu'on les dépasse. »