« Un psychotique, c'est quelqu'un qui croit dur comme fer que 2 et 2 font 5, et qui en est pleinement satisfait.Un névrosé, c'est quelqu'un qui sait pertinemment que 2 et 2 font 4, et ça le rend malade ! »
« Blesser quelqu'un, c'est entrer par effraction dans son intimité. »
« Avoir un idéal c'est le seul moyen de faire quelque chose et d'être quelqu'un. »
« Si vous voulez faire une vacherie à quelqu'un, rendez-le célèbre. »
« Un journaliste, c'est quelqu'un qui a manqué sa vocation. »
« Rien à faire, quelqu'un manque et de rien, le jour est chargé. »
« Quand on donne un baiser à quelqu'un, c'est qu'on avait envie d'être embrassé soi-même. »
« Un père qu'on voit rarement, auquel on pense rarement, c'est encore quelque chose au-dessus de soi ; et c'est doux de sentir quelqu'un qui est plus haut, qui peut être un protecteur, qui nous est supérieur par l'âge, la raison, la responsabilité. »
« Lorsque quelqu'un s'avise de mettre cinquante boîtes de soupe Campbell sur une toile, ce n'est pas le point de vue optique qui nous préoccupe. Ce qui nous intéresse, c'est le concept qui fait mettre cinquante boîtes de Campbell sur une toile. »
« Trop aimer quelqu'un empêche d'aimer avec désintéressement. Aimer quelque chose empêche d'aimer toutes choses. Aimer rétrécit le cœur. »
« Donner un avis est la chose la plus difficile qui soit pour quelqu'un qui n'a pas d'opinion. »
« Le colonialisme, c'est maintenir quelqu'un en vie, pour boire son sang goutte à goutte. »
« Un optimiste est quelqu'un qui commence à faire ses mots croisés au stylo à bille. »
« Pourquoi est-il impossible de faire du bien à quelqu'un sans lui faire de mal ? Pourquoi est-il impossible d'aimer quelqu'un sans le détruire ? »